Keith Borden travaille depuis des années dans une maison de simulation, et jamais il n’a été tenté de briser la loi interdisant tout contact… jusqu’à l’arrivée d’Aiden Maxwell. Ce patient jeune et dangereusement charmeur l’invite à découvrir le monde souterrain obscur où les gens s’adonnent à un sexe réel, sans simulations. Keith y joue sa carrière et sa liberté, mais il est curieux et Aiden est irrésistible.
Dès que Keith met le pied dans cet univers de chair et de fantasmes, il est accro. Au sexe, à l’ambiance et, surtout, à Aiden.
Après des années à repousser le monde entier, Keith rêve plus que tout de contact humain, et Aiden le lui offre librement : du sexe torride, de la tendresse, et tout le reste.
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Mon avis: Et si vous viviez dans un monde ou le sexe était interdit, si le simple fait de toucher les gens n'était pas autorisé et pouvait engendrer une arrestation ? C'est ce que nous découvrons dans ce livre, j'ai été agréablement surprise de ce livre et de cette histoire déjà que la couverture était intéressante le résumé en était tout autant. Nous plongeons dans une ville où les gens portent un uniforme et des gants pour empêcher tout contact physique et, pour pouvoir se soulager, le seul endroit possible est la maison de simulation où travail Keith Borden. Tout se passait bien jusqu'au jour ou un nouveau patient fit son apparition un jeudi sur deux à 14h30 très précisément. Sans jamais oser le touche autre qu'avec ses gants pour pouvoir mettre les capteurs sur le magnifique corps d'Aiden Maxwell. Ce dernier souhaite montré une autre vision que le sexe dans une capsule et des capteurs, mais jamais encore Keith n'avait imaginé basculer dans l'autre monde ou le sexe la tendresse le touché était possible, mais quand son envie de toucher Aiden sans ses gants il savait que jamais plus il ne pourrait faire machine arrière.
« ...Il pressa ses lèvres contre le cou de son partenaire et quand il expira, les poils sur ma propre nuque se hérissèrent. Les lèvres d'Aiden effleurèrent mon cou, puis son souffle chaud et je fissonnai dans ses bras. Alors, je me retrouvai et levais les yeux vers lui. Mon Dieu, il avait l'air que je lui voyais souvent, quand il sortait d'un caisson de simulation. Empourpré. Rayonnant de joie. Souriant comme s'il se fichait complètement de tout sauf de l'instant présent. Je levai la main pour toucher son visage, et il tourna la tête et embrassa ma paume, la douceur de ses lèvres faisant tressauter mon coeur. »Mais malgré le refus de Keith pour se laissé aller dans le plaisir qu'Aiden lui proposer, il avait finit par attiré sa curiosité trop longtemps enfoui en lui. Après avoir accepter ce fut pour Keith une révelation qui le frapper en pleine tête. Il se rendait compte que malgré toutes les interdictions de la police il ne pouvait plus faire marche arrière et s'en empêcher de vouloir sentir, touché et goûté la peau d'Aiden c'est une drogue pour lui au point ou la maison de simulation ne le satisfait plus comme avant. La plume de L.A Witt est soigner et très belle, c'était ma première lecture de cet auteur et j'en suis satisfaite. Elle a su mettre en avant la science fiction sans trop pousser trop loin. Les relations sexuelles restent sensuelles et très réaliste. Je recommence fortement ce livre si vous souhaitez passer un bon moment de détente. Ah et je remercie également mxmbookmark pour avoir édité ce livre, et sur leur page vous pouvez retrouver d'autre bouquin vraiment bien.
« Je me léchai les lèvres, et regardai autour de moi. Nous pourrions aller jusque-là dans cet endroit, nous débarrassant des couches de vêtements et nous touchant sans barrière. C’était exactement ce que faisait la moitié des gens ici, et si j’étais déjà à ce point fébrile, je ne pouvais qu’imaginer combien ils étaient excités Combien je… combien nous pouvions être excités. »
« Son corps entier tressautait légèrement en rythme avec les coups de boutoir de l’homme derrière lui, enfonçant le sexe d’Aiden un peu plus profondément dans ma bouche. Je n’étais même pas celui qui était baisé ou sucé, mais après bien trop de temps sans contact, ma seule stimulation venait des électrodes et des phéromones artificielles, j’étais submergé. »